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DE PTOLÉMÉE À COPERNIC
Texte Claire FABREVoici quelques extraits de l’article publié par Guillaume Lemonde, médecin, dans le site Internet Saluto.
Étant à la fois ingénieure de formation et engagée dans l’action culturelle, j’ai été très sensible à son approche dans cet article. Il offre une méditation originale et éclairante autour des conséquences de la perception de l’univers induite par Ptolémée puis par Copernic. Nous proposons aux lecteurs du site « labeauteaucoeur.fr » de lire cet article qui invite, à l’heure où la technique est toujours plus prégnante, à une nouvelle représentation du monde pour retrouver le chemin de l’intériorité et du sens de la vie.Ces quelques lignes reprennent le fil de sa pensée pour vous inciter à lire sa méditation en entier
Cette réflexion fait écho à l’article de Philippe Leconte publié dernièrement
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Les « bêtes, animaux symboliques, réels ou imaginaires ?
Texte Jean-Noël ANDREJean-Noël André propose une méditation sur le thème du Bestiaire, sous l’angle de la relation, riche et ambiguë, que l’être humain entretient avec l’animal. Quelles sont ces bêtes réelles ou imaginaires qui partagent notre existence ?
Présentes à toutes les époques et dans toutes les civilisations, la représentation des bêtes symbolise l’unité du vivant, le lien avec le cosmos, le passage de l’intérieur à l’extérieur, ou du matériel au divin
Jean-Noël évoque ici particulièrement le monde amérindien et le monde médiéval, mais élargit à d’autres exemples, par exemple dans l’antiquité.
Une évocation salutaire pour une période où les points de repère ont souvent été perdus. -
La mosaïque des cultures et des peuples, chance pour l’humanité
Texte Ghaleb BENCHIEKHGhaleb Bencheickh a prononcé cette conférence en clôture d’un congrès dont le thème était : « la mosaïque humaine est notre chance ». Ce congrès international se tenait en Hongrie, au moment où ce pays s’apprêtait à rejoindre l’union européenne. Un appel à l’ouverture, intemporel, et qu’il est bon d’entendre aujourd’hui, quand l’accueil de l’autre dans sa différence, qu’elle soit religieuse ou culturelle, est toujours un défi.