Vie en société
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L’approche systémique du changement
TexteLoïc DevauxL’expérience quotidienne de la puissance opérative de la fragilité et de la beauté a conduit Loïc Devaux à porter intérêt à l’approche systémique du changement. Cette approche est aujourd’hui explorée par nombre d’acteurs de la vie civile qui cherchent de nouvelles voies pour un changement de société devenu incontournable. Loïc nous partage ici comment son expérience ouvre des portes pour aborder ce processus
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DE PTOLÉMÉE À COPERNIC
TexteClaire FABREVoici quelques extraits de l’article publié par Guillaume Lemonde, médecin, dans le site Internet Saluto.
Étant à la fois ingénieure de formation et engagée dans l’action culturelle, j’ai été très sensible à son approche dans cet article. Il offre une méditation originale et éclairante autour des conséquences de la perception de l’univers induite par Ptolémée puis par Copernic. Nous proposons aux lecteurs du site « labeauteaucoeur.fr » de lire cet article qui invite, à l’heure où la technique est toujours plus prégnante, à une nouvelle représentation du monde pour retrouver le chemin de l’intériorité et du sens de la vie.Ces quelques lignes reprennent le fil de sa pensée pour vous inciter à lire sa méditation en entier
Cette réflexion fait écho à l’article de Philippe Leconte publié dernièrement
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Simone Weil, le travail et la beauté
TexteJane DoeringSimone Weil fut une grande philosophe qui s’est penchée sur la question du travail, et particulièrement du travail ouvrier, il y a maintenant presque un siècle. Elle a expérimenté elle-même le travail à la chaîne, et l’abrutissement qu’il peut susciter. Si les formes du travail ont changé (au moins dans certains pays), les questions qu’elle pose restent d’actualité. Les robots remplacent les hommes, les écrans se sont substitués aux machines et l’intelligence artificielle s’immisce partout. Les individus sont souvent soumis aux injonctions de logiciels de management sophistiqués. Les frustrations devant un travail qui ne nourrit pas l’âme restent. Il est bon de ré-entendre cette femme qui énonce le besoin de chaque personne de penser, de créer, de contempler, au cœur même d’un travail qui doit l’élever. Sans cela, ne nous étonnons pas des poussées de violence, ou des consommations croissantes de drogues en tous genres au sein des sociétés post-modernes.
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Le monde vu par la science
TextePhilippe LecontePhilippe Leconte a développé toute sa vie professionnelle dans le domaine de la science et de l’atome. Sa méditation sur la place de la science dans nos sociétés contemporaines mérite donc attention.
A une époque où la science paraît le seul angle de vue acceptable, où l’intelligence artificielle nous est présentée comme « La » solution pour l’avenir, il lance un signal d’alarme bienvenu sur l’exagération de ce seul regard, et la nécessité de retrouver le chemin du beau, du sens ou de la transcendance. -
Comment le Beau #4 – A l’école de la fragilité ultime
PodcastMatthieu BressandMatthieu Bressand part à la rencontre de différentes personnes. Chacune raconte une expérience marquante qui a infléchi sa vie ou son activité.
Une série de podcasts de 10′, des rencontres insolites.
Isabelle Forest nous emmène dans la maison de retraite de Sens dans les années 80 pour une aventure avec les personnes âgées dont les élèves de son école de formation à l’animation ont renversé leur quotidien avec des ateliers de théâtre.
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Et je ne plierai que devant la beauté
TexteIsabelle ForestNathalie Plaat est psychologue. Sortant de l’école elle est engagée comme psychologue scolaire dans des écoles primaires où le contexte socio-économique n’était pas des plus favorables, pour le dire ainsi. Ces écoles ont été ses vraies écoles.
« J’y ai surtout découvert à quel point la beauté pouvait se révéler partout, même dans des lieux les plus insoupçonnés. J’ai rencontré là une beauté logée dans des pliures de l’existence, sous le tragique, quelque part écrasée sous des lignées de misère, au détour d’un jet de lumière qui embaume une pièce entière, d’une accolade spontanée venue de cet enfant emmuré, d’un au revoir de fin d’année qui prend des allures de rituel d’adieux, ou de ces petits doigts qui se referment sur ma main tendue, enfin. »
Isabelle Forest nous partage cet article paru dans un grand journal québécois.